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 closed for cause: stupidity _ kata

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Darwin Clarke

Darwin Clarke
walk in harmony

▲▼ fils reliés : 30
▲▼ implanté depuis : 27/12/2016
▲▼ pseudo : blurpblurp
▲▼ avatar : Kim Jongsexyin
▲▼ crédit(s) : Faust (vava)

▲▼ âge : 22 années de perdue, 354 kg de déchet et des centaines de kilowatt perdue à cause de moi
▲▼ race : Rien d'autre qu'un humain sur la planète des humanoïdes
▲▼ métier : Conseiller dans la boutique de papa et maman

▲▼ dans tes poches : J'ai toujours un trou dans ma poche, mais je m'arrange toujours pour avoir mon bras droit, ma lampe de poche et un paquet de chewing-gum dans ma veste

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MessageSujet: closed for cause: stupidity _ kata   closed for cause: stupidity _ kata EmptyJeu 29 Déc - 0:29


 
Animals don't hate, and we're supposed to be better than them

{ kata & darwin }



De la fumée s'échappait depuis le crâne du chiot, mais personne ne semblait inquiet. Après tout, ce n'était qu'un chiot qui cramait du cerveau. Un chiot qui avait la cervelle en feu. Des petites étincelles se traduisent par un aboiement en fin de vie, se coupant dans son élan et laissant qu'un grésillement désagréable à la place. D'une main lente, il vient éteindre l'animal et releva -baissa- la tête vers le gamin derrière le comptoir. Petit gamin aux cheveux noirs, aux yeux bleus profonds qui lui tendait un vulgaire billet de dix eon en pensant qu'il allait avoir assez pour que Darwin se penche sur son chiot. Sur ce foutu prototype qu'il avait du trouver dans un coin de la rue, déjà abandonné et qui n'attendait qu'une chose : ce gentil monsieur qui osera le prendre dans les bras, marcher quelques mètres avec, avant de le jeter dans la poubelle et finir ses prochains jours à être découpé, arraché et défoncé par des humains à la chaîne. Il était certains que ce chiot n'attendait aucune réparation, son aboiement en témoignait, ça relevait plus d'un « laisse moi crever » qu'un cris de supplication « répare-moi ». Pourtant, il tendis la main pour prendre le billet et le mettre dans la caisse et poussa le chiot vers le rebord du comptoir. Le gamin était si petit, qu'il était caché par le chiot en équilibre, priant pour qu'un suicide l'achève définitivement. « Vous n'allez rien faire pour lui, monsieur ? » prendre la peine de lui répondre, d'user de la salive pour une stupide tête qui ne savait que jouer avec ses beaux yeux, serai enfreindre tout ses principes. « Rendez moi mes eons ! » son bras gauche se leva automatiquement, un léger coup de main dans le vent indiquait au gamin de prendre la porte sans un mot de plus. Sans une larme de plus. Darwin ne pris pas la peine de baisser les yeux sur le gosse pour savoir qu'il était entrain de pleurer, ses cris remplissaient tout le magasin et bientôt, une flaque de larme rendra la pièce plus harmonieuse. Il vient s'asseoir sur sa chaise haute et traîna sur son ordinateur en attendant. Et un espoir de brisé en plus.

Le gosse avait mit du temps à partir. Tellement de temps que Darwin s'était demandé s'il ne devait pas sortir sa batte de base-ball pour écraser le chiot et avoir un semblant d'espoir que le gosse prendrait ses jambes à son cou, retournant pleurer dans les jupons de sa mère en disant qu'il avait rencontré un mauvais garçon. C'est pour ton bien, tu comprendras en grandissant ; se disait Darwin, comme pour excuser son propre acte de méchanceté.
La matinée fut longue, au final il regrettait de ne pas avoir gardé l'enfant plus longtemps, ça lui donnait une occupation. Le magasin était vide, les prix trop cher pour une clientèle qui préférait appeler un réparateur à domicile ou pour les gosses des bas quartiers venues ici pour voir une autre vie, peut-être que la façade n'était pas moderne trop ''gouvernemental'' pour eux, ou bien, ce n'était pas le jour des visites chez son marchand de pièce. Déçue ou soulagé de n'avoir personne à désespéré, Darwin passa sa journée à écouter de la musique dans ses oreilles et faire des micro-sieste, près à se relever dès le petit bruit de clochette, indicateur d'un voyage au désespoir.

L'horloge tournait, ses parents devaient rentrer dans deux heures minimums. Sa mère lui dira qu'il fut un bon garçon et le questionnera directement pour savoir s'il avait vendu une pièce à un omniaque ou non, tandis que son père roulera des yeux et se contentera de lui donner une tape contre l'épaule avant de se jeter sur son fauteuil et lire les news peoples. Ça lui laissait donc deux heures pour se détendre et faire ce qu'il voulait. Puisque le nombre de visite se comptait à l'aide d'un seul doigt et que le nombre de revenu n'était que de dix eons, Darwin s'accepta une pause et changea la couleur du néon vert, pour un plus rouge où le mot closed trônait fièrement dorénavant. Son ombre s'éclipsa dans l'arrière boutique, où il pu poser son bras droit pour finir quelques réglages, avec à sa disposition, des tonnes de pièces neuves et propres, jamais usés qui résidaient encore dans un petit sac plastique. Le plaisir commençait à l'envoûter, le perdre dans un autre monde, drogué par les effets de la mécaniques. Un schéma pré-conçue se dessinait sur ses pupilles, bougeant sa main gauche avec dextérité et souplesse, comme un danseur se dandinant avec grâce sur la scène du plus grand théâtre du monde. Sans aucune once de stress puisqu'il s'était drogué de sédatif avant de monter sur scène, et cette bulle qui n'enveloppait que lui et sa danse, changeait les perspectives du spectacle.

La clochette retentit en écrasant sa bulle d'une main de fer. Sa tête se releva, ses sens aux aguets. Ses parents seraient rentrés plus tôt ? Sa main gauche ferma le boîtier ouvert de son bras droit, venant l'accrocher à une vitesse phénoménale et ne pris la peine de débarrasser son plan de travail. Il était déjà dans la misère avec le panneau fermé. Sa tête sortit de l'ombre, ses yeux se plaçant sur une silhouette féminine étrange. Peut-être fut-elle aveugle dans une autre vie pour ne pas voir la couleur rouge et scintillante sur la porte qu'elle venait d'ouvrir ? « On est fermé. » mensonge, mais le bruit dérangeant de son bras droit qui tentait de fonctionner était bien plus important que mentir. Ses fesses se posèrent lourdement sur le petit tabouret, trifouillant rapidement dans son bras droit pour relier ce putain de câble rouge avec le vert. « Ce n'est pas ouvert aux visiteurs. » parler pour combler le vide, être stupide pour faire fuir la clientèle. Un déclic raisonna au creux de ses oreilles. Ses yeux noirs tombèrent sur sa main droite qui avait retrouvé toute sa dextérité des dix minutes plus tôt. « Vous feriez mieux de sortir avant que je n'appelle les autorités. » en plus d'être aveugle, elle devait être sourde. L'envie de claquer des doigts sous son nez, l'attraper par les épaules pour la secouer dans tous les sens titillait sa pensée. Mais avant ça, il avait là une nouvelle occasion de briser les espoirs de quelqu'un. Ce fut sa dernière pensée, jusqu'à ce qu'il croise son regard. Avait-elle au moins un espoir ?
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Kata Shadrina

Kata Shadrina
glitch in the system

▲▼ fils reliés : 192
▲▼ implanté depuis : 10/11/2016
▲▼ pseudo : rue des étoiles (emeline).
▲▼ avatar : catherine mcneil.
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▲▼ âge : vingt-sept, le club des maudits, elle attend la fin du mois pour se tirer une balle.
▲▼ race : de chaire et d'os.
▲▼ position dans les partis : pro-omniaque silencieuse,
▲▼ métier : matrone du red lips,

▲▼ signe(s) distinctif(s) : rouge pute aux lèvres.
▲▼ dans tes poches : un beretta rouillé avec un b en initiale toute rayée, ca.

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MessageSujet: Re: closed for cause: stupidity _ kata   closed for cause: stupidity _ kata EmptyJeu 29 Déc - 19:33

Closed for cause stupidity Allez, facile sept ans. sept ans d'absence sans se creuser la tête, sans évoquer les journées où il restait dans son bureau, où elle pouvait à peine l'apercevoir -presque interdit de rentrer et pousser la poignée trop haute, sans compter d'autres détails, faudrait pas non plus demander à ce qu'il soit présent toute une journée dans son bordel, elle même en fait pas autant. C’était déjà bien de sa part de lui avoir filé une piaule, pas besoin d'aller border. Pas besoin d'être là, et pourtant, faut croire qu'à force, le manque creuse, affame. Laisse un vide s'installer, auquel on  s'habitue jusqu'au moment où on  arrive plus à supporter. Cette ligne à ne pas franchir. Et elle pense Kata, à toutes les fois où il a été là et forcément, celles ou  il répondait aux abonnés absents, un peu, puis pas trop parce que ça ferait grimper la cagnotte et que c'est pas une bonne idée, y a pas de gros lot à décrocher. Juste un constat un peu triste à afficher en lettres d'or quand on compare. Et puis, de toute façon, c'est pas comme-ci il était obligé, pas comme-ci il s'était engagé. C'était qu'un arrangement entre adultes, quoique, entre gamins, parce que du haut de ses douze ans elle était plus demi-portion que part entière d'une gâteau et lui, un ado raté de plus qui  prétend à la sagesse derrière son trois pièces trop propre. Même en creuser, la culpabilité de s’ennuyer sans n’arrive pas à partir.

C'est juste un vide, qui se remarque quand elle lève son verre à un fantôme, qu'elle rentre dans une salle inhabitée, devenue fraîche où rien n'a bougé. Un lit dépareillé, dont elle a récupéré les draps pour économiser, brisé le miroir dans un éclat de colère. Mais surtout pas pour dire que le patron avait réussi à lui manquer, sa fierté trop mal placée l'empêche. Besoin de personne, de rien, mais surtout de personne, surtout pas d'un type pareil, surtout pas de quelqu'un plus haut, surtout pas besoin d'être commandée.

C'est juste le silence qui est chiant.
C'est juste.
C'est juste un deuil volé qui grignote sur les sourires de tous les jours.

En se regardant bien dans le miroir, elle arrive à accepter. Se motiver assez pour sortir, bien s’habiller et se coller du sang aux lèvres. C’est ce qui l’amène à dériver devant une boutique qui prétend vendre un peu de bonheur. Vendre du vivant, comme une animalerie, mais sans le chuintement des oiseaux et les couleurs des poissons, que du gris sombre qu’une absence d’éclairage fait remarquer du premier abord. Et un néon aussi rouge que ses lèvres qui souligne l’interdit, bravé d’un lever de sourcil. Rien ne lui est interdit, elle a de quoi payer, elle a de quoi racheter ce bâtiment ne cherchant bien, en brisant la caisse sous le lit. Des eons comme s’il en pleuvait, attrapés dans les poches de ceux qui pensent savoir jouer. Ah. Comme elle les a tous baisés. Alors elle rentre, s’fait princesse et n’attend pas qu’on daigne lui accorder l’autorisation. Presque pas un chien – sauf des débris. Les propriétaires sont de sortie, pourtant elle a juré voir une âme bouger. Juré. Craché. Ça se réveille enfin. Elle a failli attendre. Demi-tour, putain de sourire. Pardon ? « A qui s’est ouvert alors, aux putes ou au livreur de pizza ? C’tune secte ton coin, j’dois payer combien pour poser mon regard là dessus ? » Elle ricane en faisant la moue, elle ricane sans vraiment sourire, elle regarde un truc fragile posé en équilibre, à peine elle a posé le doigt dessus que ça s'effondre dans un froissement de métal insupportable. « J’suis pas vraiment, une invitée. » Nan. Juste, là pour faire chier. « Oups. » Là pour chercher, remonter la piste. Savoir c’qui a bien pu arriver pour de vrai à Léandro. « On pourrait se comporter en personnes civilisées, je suis pas venue te cambrioler, je viens chercher des informations, rien de plus. Tu veux bien m’aider ? » Ce’clin d’oeil mal placé. Presque si elle se fout de sa gueule, mais qu’à moitié. Le coup de foutre le bordel dans la pièce, c’était de la provoque et c’est assumé par son petit air mesquin. Du reste, presque un supplice.
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Darwin Clarke

Darwin Clarke
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MessageSujet: Re: closed for cause: stupidity _ kata   closed for cause: stupidity _ kata EmptyMar 3 Jan - 15:23


 
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On ne pouvait pas dire que la jeune femme qui se trouvait devant lui avec son rouge à lèvre claquant, n’était pas à son goût. Elle était au goût de tous le monde. Darwin n’y pensait pas, il voyait la beauté comme la fin d’un feu d’artifice. Tous le monde s’extasie et fait remarquer à quel point c’était puissant et magique, tandis que lui restait debout et penaud à simplement imaginer ce à quoi le feu d’artifice ressemblais et écouter les arguments du plus petit au plus grand. Puis de toute façon, il ne goûtait pas à la beauté. Il préférait la regarder avant de remonter le bout de son nez en une grimace et faire demi-tour, avec ses pas légers et moue à la fois, comme si la beauté était au final répugnant. De temps en temps, il se rassurait en se disant que la beauté n’est que subjective et que chacun avait ses propres goûts et couleurs. On aime ou on n’aime pas, ce n’est pas la peine d’argumenter pendant des heures sur ce sujet pour exprimer son dégoûts ou la répulsion.

De ses yeux vides et méfiants, il regardait la forme s’approcher vers lui. Il avait l’impression de la voir voler ou glisser dans une élégance douteuse et foireuse sur les bords, il sentait le mauvais coup venir et quand sa langue fourcha pour lui parler, la pièce s’assombrit d’un coup. Personne d’autres n’allaient rentrer pour le sortir de cette mésaventure, le panneau rouge semblait clignoter encore plus fort qu’avant et les passants se faisaient de plus en plus rares, jetant aucun regard curieux à la boutique à cause du simple panneau ‘’closed’’. Elle avait un langage cru qui le fit froncer les sourcils, la détaillant de haut en bas. Elle se demandait à qui c’était ouvert ? Vue sa façon de s’habiller, il voudrais dire que les putes étaient bienvenues mais ce n’est pas ainsi qu’on traite un client. Il tente d’ouvrir la bouche, lui dire de faire demi-tour, rentrer chez elle et retourner à ses occupations de masturbation intellectuelle ou physique, pendant que le monde s’effrite à chaque nouveau pas et de le laisser faire sa fin du monde tranquillement. Elle est pourtant toujours là, aucun mot n’est sortit de sa bouche, et elle s’amuse à faire tomber des pièces qui coûte le quadruple de sa misérable vie .

Cette gamine se fou de sa gueule. Se comporter en personnes civilisés ? Il aimerait bien attraper ces quelques mots et l’étouffer avec, jusqu’à la voire pleurer et s’excuser comme le ferait chaque être humain tentant d’échapper à la mort. Contre toute attente, Darwin se lève simplement de sa chaise. Ses pieds traînent, se colle au sol et à chaque fois, dans un dernier effort, il le soulève pour le mettre devant l’autre et faire son chemin. Il traîne, il se laisse mourir pendant sa marche, faisant couler les secondes au ralentit, faisant passer les minutes pour des heures et la terre s’est même arrêté de tourner pour le laisser marcher. Il frôle la crise cardiaque après tant d’effort mais continue pourtant. Quel brave homme, dirait-on de lui. Il a su se lever, marcher et vivre contre le temps. Un héros ! dirait-on de lui, avant de cracher sur sa tombe et piétiner le bouquet de fleur qu’il se serai laissé lui-même. Bientôt arrivé à destination, il commence à se pencher pour ramasser les pièces tombées. Un boulon par-ci, un autre par-là. Obligé de se pencher pour attraper celui qui est tombé sous l’étagère, découvre un filet de poussière et l’observe pendant de longue minutes. Faudrait que je nettoie ; se dit-il avant de se souvenir de la femme. Il se redresse, repose les pièces dans une délicatesse presque passionnante s’il n’était pas aussi long.

« Je ne peux pas vous aider, mademoiselle. D’autant plus qu’on est fermés. » et il retourne faire le chemin à l’envers dans un supplice mortel. Le regard qu’elle lui porte, il s’en fou. Elle peux le regarder sous toute les coutures, l’insulter, le pousser, il se relèvera comme un putain de robot pour retourner à sa chaise. Un faible soupire quitte ses lèvres, preuve que c’est un humain ? Ses yeux tournent vers la forme féminine de type ‘’rouge à lèvre pute’’ et s’arrête en chemin pour la toiser sans suspense de haut en bas. Elle pourrait être belle si elle ne parlait pas, elle pourrait être belle si quelqu’un d’autres avait son corps. « Le panneau sur la porte indique fermé. Aucune personne civilisé ne serait rentré. » alors tu prends ton cul de pétasse et tu me fais le plaisir d’aller faire chier quelqu’un d’autre. Et sa tête se retourne, ses pas se remettent en route comme une vieille locomotive. Une locomotive vieille de cent ans qui vie ses derniers instants à la gare de New York.
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