nom ▲▼ Les noms ne sont que des lettres formant des mots qui produisent un bruit entre nos lèvres, les noms ne sont bons que pour rendre chaque être unique, spécial. Sinon, les noms servent à quoi? Qu'est-ce qui fait qu'un s'appelle Charles, et l'autre Gabriel? Comment choisir le nom de son enfant, est-ce que l'on prends le premier sur le bord où bien qu'on passe des années à le choisir? Sa mère lui a donné le nom anodin de Félix, venant de "felix". Heureux. Était-elle heureuse de son visage? Soulagée? Qui sait. prénom ▲▼  Ce mot qui lui rappelle l'absence de figure paternelle dans sa pauvre petite vie, ce nom qui lui rappelle de mauvaises choses, de mauvais présages. Un nom qui porte de l'histoire, oublié dans le noir. Dimitriv, nom qui auparavant vous faisait frissonner à la simple prononciation. Nom qui aujourd'hui ne vaut plus rien, qui fait bien rire lorsque prononcé étrangement. âge ▲▼  Quelle importance? L'âge, ce n'est qu'un chiffre. Félix a l'âge mûr, l'âge des belles révélations, des belles résolutions. L'âge où on finit enfin par se trouver, après 27 ans passées à se chercher sans voir la lumière au fin fond du tunnel. origines ▲▼  Sa mère lui disait souvent que son père était un Russe pure souche, à la langue bien pendue. Elle ne le détestait pas, mais elle laissait fort présager que ses origines lui posait problème. Elle, de son côté, était une Berlinoise qui adorait son pays et qui ne voulait point le quitter. Elle disait que lorsqu'elle avait quitté Berlin pour Néo, elle y avait laissée une partie de son coeur, ce qui l'empêchait d'aimer tout autre ville et pays. lieu de naissance ▲▼Félix est né à Berlin, tout juste avant le départ de sa mère pour Néo. Il ne connait Berlin que par les récits de sa mère, dont il raffolait la touche poétique et optimiste. Sa mère était une vraie poète dans l'âme, toujours à prier pour un monde meilleur. Félix manque Berlin sans même y avoir grandit, à cause de sa génitrice. Il ne s'en plaint pas pour autant, il aime la féérie d'une ville où tout se mélange et tout s'harmonise, sans aucuns problèmes et sans aucunes guerres. métier ▲▼ Le jeune Félix suit les pas de sa chère mère, bricolant par ci et par là, réparant ce qui ne marche plus et remettant un sourire sur le visage des enfants en confectionnant des babioles à partir de rien du tout. Il se proclame mécano, mais au fond de lui son seul but n'est pas de faire de l'argent, mais bien de réchauffer le coeur des gens.situation sociale ▲▼ Classe moyenne, il ne se fait pas beaucoup de profits, mais juste assez pour pouvoir subsister à ses besoins, ce qu'il a de trop il n'hésitera pas à donner à une personne qui est dans le besoin. situation émotionnelle ▲▼ Célibataire, il préfère se concentrer sur son travail et sur ses pensées. Il ne se sent pas encore prêt pour une relation sérieuse, mais n'hésite pas à avoir du plaisir de temps en temps sans aucune redevance. orientation sexuelle ▲▼ Bisexuel affirmé, il a toujours été très ouvert face à son orientation et s'accepte comme il est. position dans les partis ▲▼ Pro-omniaque, il a toujours prôné l'égalité, une valeur qui lui est très importante. Il aime bien les omniaques et les considère comme des frères. traits de caractère ▲▼ Rêveur, il aime s'imaginer des mondes meilleurs - Sage, il est toujours une bonne oreille et un bon conseilleur à qui est dans le besoin - Rancunier, il se souviendra pendant des années si vous lui avez briser le coeur ou celui d'un de ses proches - Humble, il ne s'invente pas des besoins et va au juste nécessaire - Anxieux, il doute de lui et de ses capacités bien trop souvent. À ses yeux, il n'est jamais bon dans ce qu'il fait et cela le pousse à performer encore plus. Ce qui lui prendrais 30 minutes à faire lui prendra 3 heures sans aucun problème. Perfectionniste jusqu'au bout, il trouve des défauts absents.  avatar ▲▼ Max Riemelt. crédits ▲▼ balclava.



Néo pour toi, c'est le renouveau ou le déclin ? ▲▼ INDÉCIS
Félix ne sait pas quoi en penser de Néo, il ne sait pas si il l'aime ou si il la déteste. Néo ressemble de loin à sa ville natale, mais d'un autre côté, c'est différent. Il a grandit ici et à vu les horreurs qui peuvent se produire sur ces terres, mais rien n'est parfait. Le problème avec Félix, c'est qu'il veut que tout soit parfait, que la guerre soit éradiquée et que tout le monde se tiennent par la main.
Plutôt guerre ou plutôt paix ? ▲▼ PAIX
Félix est fort pacifique. Il veut la paix et déteste la guerre. La guerre n'apporte que des orphelins, de la tristesse et du sang coulé injustement, pour lui. Pour lui, la guerre, c'est l'expression même du pessimisme humain. Si on se concentrait sur le bien dans ce monde, il n'y aurait pas de guerre. Du moins, c'est ce qu'il croit. La guerre n'est que source de malheurs, il n'y a rien de bon dans ce concept humain fort enfantin.
Comment perçois-tu l'avenir ? ▲▼ INDÉCIS
Son avenir, pour lui, est stagnant. Félix ne se voit pas devenir PDG d'une industrie de pétrole ni devenir sans-abri du jour au lendemain. Sa vie n'est pas la meilleure, il lui arrive de faire des crises de paniques face à son futur, mais ce n'est jamais un problème d'argent. Félix, c'est un problème de solitude qu'il voit. Il redonne le sourire aux gens, mais il se sent seul au plus profond de son âme. Sa mère était tout à ses yeux, et sans elle, il n'est que cendres et regrets. Mais il garde les yeux ouverts et le sourire jusqu'aux oreilles. Il force sa positivité au point qu'elle devient réelle, honnête. Un mensonge qu'il se fait mais dont il ne voit pas le problème. Son avenir? Incertain.

Tu sais, il déborde de vie comme toi. La seule différence, c’est que toi tu as vécu des choses horribles et tu as continué à vivre malgré tout. C’est peut-être pour ça que j’ai fuis, tu sais. J’ai peur que ton cœur finisse par devenir sombre et lourd, et j’ai peur pour notre fils, ton fils. Il est trop jeune pour voir son père devenir néant. Et c’est mieux pour toi de ne pas le voir, pour ne pas avoir à souffrir. Tu diras sûrement que ce geste est égoïste de ma part, mais crois-moi, j’ai vu assez de gens devenir poussière suite à ce que tu as vécu que je ne sais que trop bien la suite des choses. J’assume mon geste, j’assume mes peurs. Car oui, j’ai beau t’aimer, cela ne m’empêche pas d’avoir peur de ta personne, de cette partie au fond de toi que je ne connais pas. Ce n’est pas parce que je ne te fais pas confiance, mais ce qui arrivera arrivera et on ne peut empêcher les choses d’avancer. On ne peut éviter l’inévitable, mein liebe. Je continuerai de t’aimer jusqu’à mon dernier souffle, et je continuerai à voir dans les yeux de ton fils ton sourire chaleureux, ton regard tendre et si attentionné. Je me sens mal de mentir à ton fils pour qu’il n’ait aucune envie de te revoir, mais c’est les mesures à prendre. Tu es dangereux pour lui sans même que tu ne le saches. Je l’ai nommé Félix, comme tu le voulais. Peut-être tu le reverras dans une dizaine d’années, alors qu’il sera un homme noble et heureux et que tu seras finalement libre. Je te demande de faire comme si de rien n’était, comme s’il était rien pour toi. Je sais que c’est dur, je sais que c’est sûrement impossible, mais je t’en prie, ne fait pas en sorte qu’il veuille te revoir.

Ich Liebe dich,

Elda.

Il aimait regarder le soleil se coucher du haut du toit de la miteuse maison, le sourire aux lèvres. Parfois, quand elle pouvait, Elda allait le rejoindre. Ils se racontaient tout, des histoires farfelues aux poèmes d’amour. Félix adorait ses moments qu’il passait avec sa tendre mère. Il attendait souvent ce moment de la journée avec impatience, les yeux pétillants d’intelligence et de curiosité face aux récits de sa chère mère. Ses moments lui faisaient oublier l’absence de son père, même s’il ne voulait rien savoir de celui-ci. Il avait brisé le cœur d’Elda, il était bon à rien. Sa mère lui répétait souvent eux contre le monde, réchauffant alors le petit cœur du jeune Dimitriv. Il admirait sa mère, si forte, si fière. Elle avait quitté son pays natal pour donner une chance à son fils de se démarquer, de briller de milles feux. Cette petite puce à la nuque lui promettait un futur, un avenir heureux. Même s’ils n’avaient pas beaucoup d’argents dans le temps, ils avaient juste assez pour vivre sous un toit et s’acheter de quoi manger et ils étaient heureux. Heureux d’avoir quelqu’un sur qui compter. Dans ces temps libres, pendant que sa mère travaillait dans un petit garage du coin, Félix allait se promener entre les quartiers, certains plus accueillants que d’autres. Il y trouvait des tas de ferrailles, jouait avec les jeunes du quartier quand il avait le temps, pour ensuite retourner chez lui. Il empruntait les instruments de sa mère pour pouvoir réparer, rafistoler, fabriquer des petits objets tout anodins. Il attendait l’arrivée de sa mère avec impatience, le petit objet entre ses mains. Lorsqu’elle arrivait, il sautait sur elle, tout excité de lui montrer sa création. Elda prenait le temps de s’assoir avec Félix pour lui montrer comment optimiser son objet, lui enseignant petit par petit son travail. Félix adorait fabriquer, et c’était quelque chose qui l’occupait pendant que sa mère travaillait.

- Le médecin vient de m’annoncer que j’ai le cancer du cerveau, ils disent qu’il ne me reste plus beaucoup de temps. –

Il avait 24 ans, et voyait son monde se détruire devant ses yeux. Elda se tenait devant lui, de grosses larmes de crocodiles lui coulait le long des joues. C’était la première fois qu’elle était si triste devant son fils, elle qui était si joyeuse tout le temps. Il était trop choqué pour dire quoi que ce soit. Félix avait toujours été du genre silencieux, il préférait montrer son amour avec les gestes. Il l’entoura de ses gros bras souillés de pétrole et la serra fort dans ses bras. Sa mère blotti sa tête contre le creux de son épaule et pleura, pleura, pleura. Pendant combien de temps ? Beaucoup de temps, c’est tout ce qu’il y a à savoir. Elle lui expliqua plus tard que les médicaments qui pouvait améliorer sa situation coutait cher et qu’ils n’avaient pas les moyens. Félix proposa sans même y penser deux fois de travailler encore plus fort pour pouvoir payer ses médicaments. Elle s’opposa à cette idée, craignant que son fils se rende malade pour elle. Mais c’était déjà décidé et il n’attendait pas son autorisation. Il travailla jours et nuits, passant de multiples nuits blanches à réparer tout et n’importe quoi qui lui passait dans les mains. Il allait même dans les quartiers plus aisé pour se trouver des petits boulots bien rémunérer. Sa mère gardait le sourire malgré tout et l’aidait quand elle pouvait, mais le cancer la rendait faible et elle se retrouvait souvent contre son gré. Félix devait l’avouer, sa mère avait un sacré caractère. Elle ne voulait pas se laisser rabattre par cette maladie qui la rongeait petit par petit. Elle se fâchait lorsque son fils lui disait qu’elle ne pouvait pas l’aider, proclamant que c’était elle qui lui avait tout appris. Il lui donnait raison et retournait à son boulot en ignorant ses cris de frustrations. Elle était vivante, grâce à ses médicaments. Ils étaient encore ensemble, et c’est tout ce qu’il comptait.

- Je t’aime, Félix. Je suis désolée. –

Les derniers mots d’Elda. Ce qui le choquait le plus était son sourire sur son visage alors qu’elle quittait le monde des vivants. Félix la regardait, silencieux, lui tenant la mort si fort qu’un peu plus et il lui brisait les os. Il sorta de l’hôpital et pleura dans la ruelle à côté pendant dix bonnes minutes. Il était triste, mais au moins sa mère ne souffrait plus. Elle était heureuse là où elle était. Elle ne le quitterait jamais. Pendant une seconde, il souhaitait disparaître de ce monde. Sa mère, son univers, n’était plus que poussière. C’est sûr, il y avait quelqu’un d’autre dans sa vie, mais sa mère, il l’aimait tant.
Oh que oui, il l’aimait.

C'est pour ça qu'il ne baissera pas les bras, qu'il gardera la tête haute et qu'il continuera de faire ce qu'il fait de mieux: construire, créer, réparer.
Son travail n'est pas de détruire, de briser, de casser, c'est tout le contraire et c'est ce qui le passionne plus que tout.
Alors il continuera, il continuera d'aimer, de rire, de sourire, parce que sa mère ferait de même.

Coucou coucou les gens! Bon premièrement, j'suis une bûcheronne du Grand Nord! -hint: vous savez, le pays froid au dessus des US? Bah voilà! C'est ma maison   - Je suis Ultra Résistante au froid, tu vois quoi. Mon petit nom c'est Sabrina, Sabiche pour les intimes. J'suis fan des memes, même que mon nom sur ow c'est spicyhanzo et que j'ai carrément gaspiller mon name change pour faire ça. Est-ce que je le regrette? Oui. J'adore ow, je suis potable à ow, j'suis entourée d'anglos sur ow parce que serveurs NA, du coup c'est un peu bizarre voir tout ses noms FR des personnages - Fatale pour Widow....jamais je m'habituerais- J'ai 17 balles, 18 dans un mois, j'vais plus à l'école et je travaille temps plein dans un magasin de vêtement haute-couture mais j'ai l'air d'un betterave? Trouver l'erreur   ? Euh, que dire d'autres??? J'ai un anneau de vache dans le nez, j'adore la musique -panic!, fob, top, et puis du gros rap allemand let's go Kontra K à fond-, les séries toussa toussa. J'suis vraiment cool j'ai un oiseau, c'est une petite perruche et elle s'appelle Tauriel, je l'adore c'est pratiquement mon enfant      Bisous bisous      En cas de disparition, acceptes-tu que nous utilisions ton personnage pour une intrigue/event ? ▲▼ la question est si vous voulez de mon personnage ultra lame. bam.

félix est beaucoup trop cool. en vrai tékaté pour les fautes, j'ai cru voir quelques pépins mais rien de grave, ça a en rien gâché l'expérience de lecture. t'as une plume hyper fluide, un personnage super intéressant, ET BEURDEL DE CUL UN MECANO. puis l'allemand, sans déconner, autant j'suis une chiasse sur cette langue, autant je la trouve belle dans sa brutalité. fuah. j'ai trop hâte de voir ce que vous allez faire avec ephronron. j'te valide avec zizir mon féfé, jtm fort.

Bravo à toi l'affreux ! Cette fiche annonce ta libération, après la galère de la fiche tu vas devoir faire tout ce qui est administratif. Une fois ceci fait, tu pourras enfin te balader dans les rues de Néo. Pour ce qui est de l'avatar, t'as pas trop à t'inquiéter ! Si t'as bien fait ton boulot ça a déjà été recensé, si c'est pas le cas hésite pas à MP un admin. Du reste on va te demander de passer par ce coin avant toute chose. Pour tout ce qui est maisons, partis, noms de codes, d'omniaques, etc. Bref ce qui est relou mais une fois que c'est fait t'es bien ! Ensuite c'est assez free, tu peux parfaitement aller te faire des liens comme aller te créer un un scénario, tout dépendra de ton envie du moment.

Bien évidemment, une fois que tu seras en paix avec toi-même, tu pourras écrire avec nous. Et on espère que tu t'éclateras bien en notre compagnie, on t'fait des bisous sur les fesses - parce que grouh.